Faire une donation


Trois possibilités s’offrent à vous

- Le don manuel : possible pour les biens mobiliers : argent, bijoux, meubles, tableaux, actions, …. Il s’agit d’une transmission directe et informelle, exemptée d’impôts. SOS Jeunes ne paye rien.

- La donation par acte notarié : les biens immobiliers ne peuvent être transmis que devant notaire. Les droits de donations sont de 7% dans les trois Régions. 7% sont payés par SOS Jeunes.

- Il existe également la possibilité d’effectuer une donation à destination de notre Fonds SOS Jeunes, créé au sein de la Fondation Roi Baudouin, une façon de garantir la pérennité de votre geste.

Pratiquement, les donations doivent être adressés à la Fondation Roi Baudouin, Fondation d’utilité publique dont le siège se situe à 1000 Bruxelles, rue Brederode 21, en faveur du Fonds SOS Jeunes. IBAN BE10 0000 0000 0404 - BIC BPOTBEB1- communication "R 20310 Fonds SOS Jeunes"



 

Je fais un don

s'abonner a la

newsletter

Billet d'humeur

NEET : le néant n’a pas d’avenir

Contraction de l’expression anglaise Not in Education, Employment or Training (ni étudiant, ni employé, ni stagiaire), l’acronyme NEET désigne les jeunes de 15-34 ans, célibataires, qui vivent chez leurs parents, ne travaillent pas et ne recherchent pas d’emploi.
Vous imaginez aisément que, sans projet de vie, le jeune NEET n’a pas des dizaines de perspectives à long terme : on perçoit aisément les difficultés qui vont commencer à se présenter graduellement si le jeune ne parvient pas à sortir de ce « statut » qui
n’en est pas un. Les instituts de statistiques et les gouvernements ont commencé à s’intéresser à ce phénomène des NEET, car les autres données (telles que le taux du chômage ou le pourcentage de réussite des études ou même des échecs) ne rendent absolument pas pleinement compte de la situation des jeunes. Sans entrer dans les détails, on sait que la proportion de NEET chez nos jeunes a une furieuse
tendance à augmenter.
Les équipes de SOS Jeunes – Quartier Libre connaissent bien cet engrenage qui fait, petit à petit, qu’un sorti de l’école s’enlise. Plus de formation, pas d’emploi, pas de stage, il se replie sur lui et se démotive. On en vient ensuite à la dégradation de sa propre image et à la désaffiliation. On se doit d’agir en amont afin d’éviter de tomber dans l’engrenage des NEET. Parce que le néant n’a pas, soyons honnête, beaucoup d’avenir. Le projet « Un jour, demain ! », de notre Antenne ixelloise Quartier Libre, vise notamment à informer les jeunes de ce qui est possible après l’école. Il s’adresse à un public particulier qui est constitué de jeunes de sixième année de l’enseignement spécial. Que se passe-t-il après l’école ? Comment entrer dans la vie active ? Un DVD reprend des témoignages d’aînés, connus des jeunes, qui racontent leur parcours… Une série de témoignages qui doivent permettre aux jeunes de prendre leur propre envol, une fois l’école quittée.

Amicalement à vous !

1er janvier 2019