Concours d’oeuvres vidéos pour les jeunes

Organisé par le Délégué aux droits de l’enfant et RTA

Un projet pour, par et avec les enfants et les jeunes, tout en images !

Pourront participer au concours toutes les oeuvres vidéo déjà existantes (aucune production nouvelle tournée pour la circonstance ne sera acceptée).

Ces « mini films » devront traiter de manière générale ou spécifique des questions concernant l’enfance et/ou la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles et avoir un lien, proche ou lointain, avec la Convention internationale relative aux droits de l’enfant.

Les productions sont à envoyer, sur support DVD (2 exemplaires), à l’adresse postale du Délégué général, 11-13 rue des Poissonniers boite 5 - 1000 Bruxelles avant le mercredi 20 juin 2012.

Un prix d’un montant de 1000 euros sera décerné au vainqueur de la compétition et deux autres prix de 500 euros pour les deux suivants.

Les dix meilleurs films bénéficieront d’une diffusion, à durée indéterminée, dans l’onglet « Productions extérieures » du v-log « enlignedirecte.be » et permettront ainsi de mettre en évidence des projets originaux, de bonnes pratiques, des idées positives et constructives au coeur des mondes de l’enfance et de la jeunesse en Fédération Wallonie-Bruxelles.

La cérémonie de remise des prix se tiendra au cinéma « Le Vendôme », chaussée de Wavre 18 à 1050 Bruxelles, le mercredi 27 juin de 14 à 16h en présence des lauréats.



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Billet d'humeur

NEET : le néant n’a pas d’avenir

Contraction de l’expression anglaise Not in Education, Employment or Training (ni étudiant, ni employé, ni stagiaire), l’acronyme NEET désigne les jeunes de 15-34 ans, célibataires, qui vivent chez leurs parents, ne travaillent pas et ne recherchent pas d’emploi.
Vous imaginez aisément que, sans projet de vie, le jeune NEET n’a pas des dizaines de perspectives à long terme : on perçoit aisément les difficultés qui vont commencer à se présenter graduellement si le jeune ne parvient pas à sortir de ce « statut » qui
n’en est pas un. Les instituts de statistiques et les gouvernements ont commencé à s’intéresser à ce phénomène des NEET, car les autres données (telles que le taux du chômage ou le pourcentage de réussite des études ou même des échecs) ne rendent absolument pas pleinement compte de la situation des jeunes. Sans entrer dans les détails, on sait que la proportion de NEET chez nos jeunes a une furieuse
tendance à augmenter.
Les équipes de SOS Jeunes – Quartier Libre connaissent bien cet engrenage qui fait, petit à petit, qu’un sorti de l’école s’enlise. Plus de formation, pas d’emploi, pas de stage, il se replie sur lui et se démotive. On en vient ensuite à la dégradation de sa propre image et à la désaffiliation. On se doit d’agir en amont afin d’éviter de tomber dans l’engrenage des NEET. Parce que le néant n’a pas, soyons honnête, beaucoup d’avenir. Le projet « Un jour, demain ! », de notre Antenne ixelloise Quartier Libre, vise notamment à informer les jeunes de ce qui est possible après l’école. Il s’adresse à un public particulier qui est constitué de jeunes de sixième année de l’enseignement spécial. Que se passe-t-il après l’école ? Comment entrer dans la vie active ? Un DVD reprend des témoignages d’aînés, connus des jeunes, qui racontent leur parcours… Une série de témoignages qui doivent permettre aux jeunes de prendre leur propre envol, une fois l’école quittée.

Amicalement à vous !

1er janvier 2019