Jeunes citoyens à Bruxelles : (RE)PENSONS NOTRE VILLE… Inscrivez-vous vite à la journée de réflexion du 22 avril 2014 !


SOS Jeunes – Quartier Libre et les élèves de 6ème générale de l’Athénée Royal d’Ixelles organisent un colloque au Flagey à Ixelles. Venez partager avec eux, vos réflexions citoyennes pour (re)penser Bruxelles.

Avec quatre thèmes centraux qui tournent autour de l’école, des jeunes, du multiculturalisme et des quartiers de Bruxelles, le colloque « Jeunes citoyens à Bruxelles : (re)pensons notre ville… » aura lieu, à Flagey, le mardi 22 avril 2014 de 9h à 16h. Il s’adresse en priorité à toutes celles et ceux qui sont intéressés par les différents enjeux auxquels Bruxelles doit faire face.

Durant la matinée, quatre intervenants : Andrea Rea (ULB), Marco Martiniello (ULg), Carla Nagels (ULB), Bernard Delvaux (UCL) auront l’occasion d’apporter de nombreux éléments d’informations sur ces quatre thèmes majeurs. L’après-midi laissera place aux ateliers et aux débats entre les jeunes.

L’événement est gratuit mais l’inscription préalable (avant le 18 avril) est obligatoire. Le nombre de places étant limité, ne tardez pas à vous inscrire en envoyant un courriel à communication@sosjeunes.be reprenant :
-  votre nom,
-  prénom,
-  organisation
-  ainsi que vos préférences (de 1 à 4) pour la participation aux ateliers de l’après-midi.

Le programme complet et la description des ateliers se trouvent ici



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Billet d'humeur

NEET : le néant n’a pas d’avenir

Contraction de l’expression anglaise Not in Education, Employment or Training (ni étudiant, ni employé, ni stagiaire), l’acronyme NEET désigne les jeunes de 15-34 ans, célibataires, qui vivent chez leurs parents, ne travaillent pas et ne recherchent pas d’emploi.
Vous imaginez aisément que, sans projet de vie, le jeune NEET n’a pas des dizaines de perspectives à long terme : on perçoit aisément les difficultés qui vont commencer à se présenter graduellement si le jeune ne parvient pas à sortir de ce « statut » qui
n’en est pas un. Les instituts de statistiques et les gouvernements ont commencé à s’intéresser à ce phénomène des NEET, car les autres données (telles que le taux du chômage ou le pourcentage de réussite des études ou même des échecs) ne rendent absolument pas pleinement compte de la situation des jeunes. Sans entrer dans les détails, on sait que la proportion de NEET chez nos jeunes a une furieuse
tendance à augmenter.
Les équipes de SOS Jeunes – Quartier Libre connaissent bien cet engrenage qui fait, petit à petit, qu’un sorti de l’école s’enlise. Plus de formation, pas d’emploi, pas de stage, il se replie sur lui et se démotive. On en vient ensuite à la dégradation de sa propre image et à la désaffiliation. On se doit d’agir en amont afin d’éviter de tomber dans l’engrenage des NEET. Parce que le néant n’a pas, soyons honnête, beaucoup d’avenir. Le projet « Un jour, demain ! », de notre Antenne ixelloise Quartier Libre, vise notamment à informer les jeunes de ce qui est possible après l’école. Il s’adresse à un public particulier qui est constitué de jeunes de sixième année de l’enseignement spécial. Que se passe-t-il après l’école ? Comment entrer dans la vie active ? Un DVD reprend des témoignages d’aînés, connus des jeunes, qui racontent leur parcours… Une série de témoignages qui doivent permettre aux jeunes de prendre leur propre envol, une fois l’école quittée.

Amicalement à vous !

1er janvier 2019