Attention : fausse recherche de fonds !

Quelqu’un utilise notre nom.

Nous avons été informé par plusieurs particuliers, dans différentes communes de l’agglomération bruxelloise, qu’un jeune fait actuellement du porte à porte pour réaliser une soi-disant recherche de fonds en notre nom. Il va sans dire que nous ne pratiquons pas ainsi !

Nous sommes un service agréé par l’Aide à la Jeunesse de la Fédération Wallonie-Bruxelles et sommes subventionnés pour réaliser nos missions de base. Nous faisons régulièrement appel aux autorités publiques lorsque nous souhaitons développer des actions complémentaires au travers des appels à projets spécifiques. Il se peut également que nous fassions appel à votre générosité pour développer des actions qui seraient insuffisamment subventionnées et/ou n’entreraient pas dans le cadre de ces subventions. Dans de tels cas, nos démarches sont formalisées et accompagnées par du personnel de notre organisation.

Il nous arrive aussi de développer divers projets citoyens (Saint-Nicolas des plus démunis, repas pour les sans-abris,…) où nous impliquons les jeunes dans la recherche de moyens. Dans de tels contextes, nous laissons les jeunes faire du porte à porte sans accompagnement spécifique. Ce type de démarche ne touche jamais à l’argent. Les jeunes sont directement impliqués pour vous solliciter dans des recherches matérielles (jouets, denrées alimentaires,…).

Avant de donner de l’argent, nous vous invitons à nous contacter pour vérifier les dires de la personne que vous avez en face de vous au numéro de téléphone 02 512 90 20. Notre permanence d’accueil est ouverte 7jrs/7 de 9h à 22h.

Pour SOS Jeunes – Quartier Libre
Hugo LANTAIR
Coordinateur 24h



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Billet d'humeur

NEET : le néant n’a pas d’avenir

Contraction de l’expression anglaise Not in Education, Employment or Training (ni étudiant, ni employé, ni stagiaire), l’acronyme NEET désigne les jeunes de 15-34 ans, célibataires, qui vivent chez leurs parents, ne travaillent pas et ne recherchent pas d’emploi.
Vous imaginez aisément que, sans projet de vie, le jeune NEET n’a pas des dizaines de perspectives à long terme : on perçoit aisément les difficultés qui vont commencer à se présenter graduellement si le jeune ne parvient pas à sortir de ce « statut » qui
n’en est pas un. Les instituts de statistiques et les gouvernements ont commencé à s’intéresser à ce phénomène des NEET, car les autres données (telles que le taux du chômage ou le pourcentage de réussite des études ou même des échecs) ne rendent absolument pas pleinement compte de la situation des jeunes. Sans entrer dans les détails, on sait que la proportion de NEET chez nos jeunes a une furieuse
tendance à augmenter.
Les équipes de SOS Jeunes – Quartier Libre connaissent bien cet engrenage qui fait, petit à petit, qu’un sorti de l’école s’enlise. Plus de formation, pas d’emploi, pas de stage, il se replie sur lui et se démotive. On en vient ensuite à la dégradation de sa propre image et à la désaffiliation. On se doit d’agir en amont afin d’éviter de tomber dans l’engrenage des NEET. Parce que le néant n’a pas, soyons honnête, beaucoup d’avenir. Le projet « Un jour, demain ! », de notre Antenne ixelloise Quartier Libre, vise notamment à informer les jeunes de ce qui est possible après l’école. Il s’adresse à un public particulier qui est constitué de jeunes de sixième année de l’enseignement spécial. Que se passe-t-il après l’école ? Comment entrer dans la vie active ? Un DVD reprend des témoignages d’aînés, connus des jeunes, qui racontent leur parcours… Une série de témoignages qui doivent permettre aux jeunes de prendre leur propre envol, une fois l’école quittée.

Amicalement à vous !

1er janvier 2019